Les vétérinaires parmi les plus confiants pour leur profession - Le Point Vétérinaire.fr

Les vétérinaires parmi les plus confiants pour leur profession

Clarisse Burger | 11.05.2017 à 17:13:45 |
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© La SV

Les professionnels libéraux de santé se projettent différemment dans l’avenir, selon l’étude de CMV Médiforce. Les vétérinaires et les kinésithérapeutes-ostéopathes demeurent les plus optimistes pour leurs activités. Le point.

« Un métier passionnant et diversifié ! » C’est ce que la profession vétérinaire déclare, même si quelques nuages sont venus assombrir son quotidien. Avec les kinés-ostéopathes, les vétérinaires ont une vision plutôt bonne et positive de la situation actuelle de leurs activités : 70 % des vétérinaires lui attribuent une note comprise entre 5 et 7 (sur une échelle de 1 à 10), versus 52 % pour l’ensemble des libéraux de santé interrogés. Ce sont les résultats de la 6e édition de l’observatoire de CMV Médiforce (filiale du groupe BNP Paribas), qui sonde chaque année les professions libérales de santé en France sur leur métier et leurs sources de satisfaction. Un “moral professionnel” plutôt bon pour les 89 % des vétérinaires qui mettent en avant la variété de leurs activités (versus 73 % pour le panel sondé).

Un avenir incertain
Depuis six ans, la note globale décernée par ces libéraux de santé a baissé régulièrement (de 5,7 en 2011 à 4,8 en 2014) pour remonter très légèrement en 2016. Dans un contexte socio-économique difficile, à l’heure aussi de la transition numérique des petites et moyennes entreprises, le niveau d’adaptation de ces libéraux est variable.
« Les professions de santé ont été interrogées dans un contexte d’attentisme, avant les élections présidentielles. En effet, à quelles réformes doivent-elles s’attendre ? Néanmoins, il convient de noter le même attachement de ces professions libérales à leur métier, explique Ariane Govignon, directrice générale de CMV Médiforce. Si les vétérinaires, les infirmiers et les kinés-ostéopathes restent satisfaits, les chirurgiens-dentistes, les médecins généralistes, les radiologues et les pharmaciens sont plus pessimistes. »

Retrouvez l'intégralité de cet article en pages 10-11 de La Semaine Vétérinaire n° 1719.

Clarisse Burger
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