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Le projet de plateforme hospitalo-universitaire de biologie et de pathologie de territoire du groupe hospitalo-universitaire (GHU) AP-HP Henri-Mondor, dont le coût des travaux s’élève à 48,5M €, a officiellement débuté avec le concours architectural ouvert depuis le 27 mars dernier.
Le système de santé est en ordre de marche pour optimiser son fonctionnement et son efficience. La transformation digitale avec l’intégration des nouvelles technologies dans les pratiques et l’organisation des professionnels est devenue incontournable. La reconnaissance vocale, la transcription automatisée el le Cloud aident les professionnels à se recentrer sur le soin.
Galeon, projet communautaire d’intelligence artificielle en santé, annonce un financement de 500 000 € sans contrepartie pour le repurposing de médicaments. Début avril 2024, l’entreprise lance un appel à candidatures de médecins ou scientifiques ayant constaté des cas de réutilisation possible de médicaments pour d’autres pathologies pour lesquelles ils n’étaient pas destinés. Une fois les projets sélectionnés par un comité scientifique d’experts, Galeon financera l’étude à mener pour valider scientifiquement cette réutilisation. Une première dans le milieu des start-ups.
Le 4 avril, lors du salon Go Entrepreneurs, les 42 lauréats de la 11e vague du volet i-Nov du Concours d’innovation de l’État ont été annoncés. Quatre d’entre eux relèvent de la thématique Santé.
L’Institut de Cancérologie de l’Ouest et l’Institut Bergonié, centres de lutte contre le cancer, le Centre Hospitalier Intercommunal de Mont de Marsan et le Digital Medical Hub (DIMH) s’associent en créant le tiers-lieu « Onco-Atlantique » pour améliorer les parcours complexes des patients en oncologie : des biomarqueurs à une prise en charge « hors les murs ».
Il a porté une délégation francophone de plus de 40 acteurs de santé au congrès HIMSS 2024 et atterri juste de 8 jours riches d’échanges et de découvertes. Stéphan Haaz, directeur général du CATEL, qui se présente comme un incubateur de Communautés e-santé, revient pour DSIH sur les enseignements de ce déplacement au cœur de la e-health américaine !
Réunie en comité exécutif exceptionnel ce matin, la Fédération de l'Hospitalisation Privée (FHP) a décidé, en lien avec la totalité des syndicats des médecins libéraux, de réagir au choc provoqué par l’annonce extrêmement forte du gouvernement concernant la tarification hospitalière pour 2024, en annonçant une grève totale à compter du 3 juin (sauf les activités vitales comme la dialyse).
Au cœur des écosystèmes de santé, les SATT jouent un rôle clé dans la dynamique d’innovation du monde hospitalier afin de toujours mieux répondre aux enjeux de santé publique et de contribuer à la création de l’hôpital de demain. Alors que la mission du gouvernement pour la rénovation de la recherche biomédicale doit rendre ses conclusions prochainement, le Réseau SATT confirme son engagement en faveur de l’émergence des innovations en santé et partage l’ambition d’une recherche renforcée pour le maintien du leadership et de l’attractivité internationale de la France.
L’inauguration du tiers-lieu BOpEx (Bloc Opératoire Expérimental) et de la plateforme Prim3D (Prototypage et Réalisation d’Innovations Médicales en 3D) s’est déroulée le 27 mars 2024 au sein de l’ancien hôpital Broussais. Ces deux initiatives vont contribuer à accélérer l’innovation en santé, en favorisant l’émergence de nouveaux outils au service de la prise en charge des patients au bloc opératoire. Un futur campus chirurgical viendra également accompagner ces mutations en formant les futures générations de professionnels.
Vendredi 8 mars, le Winship Cancer Institute d’Atlanta, clinique spécialisée en oncologie, recevait la délégation française portée par le CATEL pour une visite de ses bâtiments flambant neufs et une présentation de leur parcours de prise en charge à la pointe de l’innovation technologique et organisationnelle. Après cinq années de travaux, financés par les dons de la Fondation Woodruff, il fêtera dans quelques jours ses 10 mois d’ouverture. Le défi lancé par le donateur était de « construire quelque chose de jamais vu ni même imaginé ». Pari tenu ? DSIH vous emmène à la découverte d’un centre de cancérologie des plus innovants. (1/2)
RSSI, RSSI adjoints, ingénieurs cyber, chefs de projets, mais aussi maîtrises d’ouvrages désireuses de comprendre la démarche cyber, cette formation de 2 jours est pensée pour vous !
Les services des urgences traversent une crise profonde, confrontés à une affluence exponentielle en regard du sous-dimensionnement de leurs équipes et infrastructures.
Jeudi 15 février, le groupe Dedalus France accueillait dans les locaux de son siège social à Artigues-près-Bordeaux, la 1ère édition des Rencontres d’ALLIS-NA, pôle de compétences de Nouvelle-Aquitaine. Consacrée au développement de l'IA dans les établissements, la matinée a réuni un parterre d’acteurs régionaux autour de ses enjeux et des moyens d’accélérer son intégration dans les SI hospitaliers, en présence de Françoise JEANSON, vice-présidente Santé & Silver économie au Conseil Régional de Nouvelle-Aquitaine et de Christian FILLATREAU, président d’ALLIS-NA.
Lifen poursuit sa volonté d’améliorer le système de soins et se veut le partenaire idéal des équipes Qualité des établissements. Grâce à l’Intelligence Artificielle, Lifen Qualité simplifie les campagnes IFAQ et permet d’améliorer en continu le niveau de qualité des établissements de santé. La solution simplifie et optimise la phase d’audit des dossiers patient pour l’IQSS Qualité de la Lettre de Liaison à la Sortie (LDL).*
Depuis le dernier trimestre 2023, l’Institut de Cancérologie de Lorraine (ICL) gère son circuit de prescription/préparation/administration des chimiothérapies avec l’application Chimio 6.0 de Computer Engineering. Comment s’est passé ce changement, avec quels effets ?
Pour s’adapter à l’évolution des technologies, des usages et de l’organisation des hôpitaux, les trois filières Ingénierie biomédicale, Biologie et Santé digitale & numérique d’UniHA, premier acheteur public dans le secteur de la santé, travaillent désormais de concert au sein d’Unibiotech pour construire les marchés pour lesquels les données et l’intelligence artificielle sont devenues les moteurs de l’optimisation diagnostique et thérapeutique.
GERS Data, filiale de Cegedim et acteur de référence en matière de données et analyses pour le marché de la santé en France, propose un accès élargi à labase de données de vie réelle anonymisées THIN® pour les projets non sponsorisés des chercheurs, notamment académiques, dans un esprit de collaboration, et avec un objectif d’amélioration de santé publique.Reconnue pour la robustesse de ses données médicalisées, la base européenne THIN®, construite sur un modèle commun de données structurées, est accessible immédiatement aux technologies de l’innovation médicale et de l’Intelligence Artificielle, au service de la Santé.
Microsoft et Nuance présentent une étude de cas aux Hôpitaux civils de Colmar sur l’efficacité de Dragon Medical One, solution de reconnaissance vocale de Nuance portée par l’IA et hébergée dans le Cloud en France.
ELSAN, leader de l’hospitalisation privée en France, est lauréat de la vague 2 de l’appel à projets "Accompagnement et soutien à la constitution d'entrepôts de données de santé hospitaliers" de France 2030, un plan d’investissement qui poursuit la stratégie du Gouvernement en faveur de l’investissement, de l’innovation et de la ré-industrialisation. Cet appel à projets était piloté par la direction générale de l’offre de soins et opéré par Bpifrance avec le soutien du Health Data Hub. Sélectionné par un jury d’experts en données de santé, ELSAN a été retenu pour la qualité, la pertinence et le potentiel de son projet de constitution d’entrepôt de données de santé (EDS).
La télésanté regroupe les activités de santé médiées par un outil numérique : téléconsultation, téléexpertise, télésurveillance, téléassistance, télérégulation, télésoins... En mettant en relation les patients et les professionnels de santé ou les professionnels de santé entre eux, elle permet la réalisation de nombreux actes : établissement de diagnostics, suivi renforcé de patients à risques, sollicitation d’avis spécialisés, prescription de produits ou d’actes, surveillance de patients à domicile, actes de rééducation...
L’intelligence artificielle dans le domaine de la santé constitue d’ores et déjà une réalité opérationnelle pour l’amélioration de l’efficacité et de l’efficience de notre système de santé. Le SIB s’est emparé du sujet. Entretien avec Claudie David, Directrice de l’Innovation du SIB.
Dans sa quête d'innovation, l'American Hospital of Paris a orchestré un projet majeur en France et ce, en collaboration avec une startup-up et des leaders industriels dont Nuance (une société de Microsoft).Ce projet est AHP Med, une plateforme de service mobile "all in one" conçue pour permettre aux médecins de saisir rapidement des informations dans le dossier patient informatisé, de programmer des interventions chirurgicales, de coder les dossiers médicaux, et même de collaborer avec d'autres praticiens sur des cas cliniques, le tout depuis leur téléphone mobile.
Les 18, 19 et 20 juin 2024, l’APSSIS organisera son 12ème Congrès National de la SSI Santé, le #CNSSIS2024 ! Un peu plus de 200 participants sont attendus à l’espace culturel des Quinconces du Mans pour 3 jours de conférences, de débats, de tables-rondes et d’échanges. Cette 12ème édition proposera 25 conférences et 2 parcours spécialisés, préparés pour l’événement, et pour la première fois, le premier concours d’éloquence des RSSI Santé !
L’Intelligence Artificielle (IA) semble avoir le potentiel d’apporter des outils innovants dans de nombreux secteurs d’activité. Qu’en est-il de son utilisation dans le domaine de la santé et de sa perception par les médecins et les Français ? C’est ce que le Healthcare Data Institute a voulu explorer. Quel est le niveau de connaissance des Français et des médecins ? Comment perçoivent-ils les apports potentiels de cette technologie ? Sont-ils prêts à intégrer l’IA dans les soins ?
Le consortium P4DP, Platform for Data in Primary Care, a annoncé le 22 novembre ses objectifs pour le premier semestre 2024.
« Dans la santé, l’informatique ne se résume pas à la technique. C’est de l’humain et des projets à construire et consolider. » En plus de 20 ans de carrière, Thierry Jacquemin a eu plusieurs vies. Tour à tour directeur des systèmes d’information en établissement hospitalier, chargé de mission en ARH ou consultant en organisation, il a eu l’occasion d’accomplir de nombreuses missions, de la gestion d’appels d’offres au pilotage d’expérimentation, en passant par la gestion d’un service… Il nous dit tout de son métier, appelant la jeunesse en quête de sens à s’y intéresser.
Lifen Intégration utilise l’intelligence artificielle pour automatiser le traitement et le rangement des documents médicaux dans le DPI, en toute conformité avec les règles d’identitovigilance. En analysant les documents entrants, papiers ou numériques, la solution facilite et fiabilise le travail des secrétariats, tout en permettant d’engager les établissements dans une démarche zéro papier. Sacha Vaguelsy, directeur Produits chez Lifen, et Thê-Minh Trinh, chef de produit, nous expliquent les atouts de cette solution.
Récemment, je suis tombé sur un article[1] qui disait, en substance, que les pires ennemis du RSSI étaient les dirigeants : DG, DAF, DRH, etc. Et que, dans le même temps, les RSSI (Ciso dans le monde anglo-saxon) se retrouveraient (toujours selon l’article) de plus en plus en ligne de mire des juges en cas de manquement grave aux bonnes pratiques cyber. Bref, c’est nous (les RSSI) les gentils au milieu de tous ces méchants qui font rien que nous empêcher de cybersécuriser en rond.
THIN® (The Health Improvement Network), l’une des plus importantes bases de données santé en Europe, comporte désormais les dossiers médicaux informatisés et anonymisés allemands
Les IA génératives et les large language models ont propulsé l’intelligence artificielle dans la sphère publique. Elle commence aussi à prendre sa place dans les établissements. Même si, comme beaucoup le disent, cette technologie ne reste qu’un outil, elle risque de transformer en profondeur les pratiques des médecins et plus largement des acteurs de l’hôpital. Décryptage et projections à retrouver dans notre dossier consacré à l’IA.
La Haute Autorité de santé met en consultation jusqu’au 15 novembre son référentiel de bonnes pratiques professionnelles relatives à la qualité et à l’accessibilité de la téléconsultation applicable aux sociétés de téléconsultation.
La protection des données personnelles est de plus en plus au cœur de litiges aux sujets variés. Un salarié sur le départ, un concurrent jaloux ou encore comme c’est le cas ici, un patient mécontent de son médecin, autant de personnes qui décident de s’appuyer sur les dispositions du règlement UE n°2016/679 dit « RGPD » pour obtenir des documents qui leur seront bien utiles devant un juge.
Après une analyse approfondie par des experts indépendants dans le domaine de l’éthique, de la réglementation, de la sécurité et du niveau de preuve et de bénéfice clinique, le comité de l’Institut National de e-Santé (INeS), a attribué son label de solution à haut niveau d’évaluation clinique pour l’application VIDAL Sentinel et son label de la solution à fort potentiel clinique pour VIDAL Ma Santé.
Un nouveau modèle d'intelligence artificielle (IA) combine les informations d'imagerie avec les données cliniques des patients pour améliorer les performances diagnostiques sur les radiographies pulmonaires. Une équipe allemande présente un modèle de ce type dans une étude publiée dans la Revue Radiology.
L’ARS Île-de-France et l’Assurance maladie ont décidé de travailler sur une feuille de route commune pour favoriser le déploiement de la télésanté dans la région, à la fois en déclinant les orientations nationales et en prenant en compte les spécificités franciliennes.
Le Comité Exécutif de Maincare, filiale de Docaposte, est ravi d'annoncer la nomination d'Olivier Geoffroy au poste de Directeur Général. Cette nomination fait suite au rachat de Maincare par Docaposte, filiale du groupe La Poste, en mars 2023, et s’inscrit dans la nouvelle stratégie santé du groupe qui sera annoncée le 18 octobre prochain. Olivier Geoffroy prendra la tête de l’éditeur spécialisé dans le numérique en santé à compter du 23 octobre 2023.
Alors que, dans le domaine de l’imagerie médicale, la vague 1 du Ségur du Numérique en Santé n’amenait aucun usage nouveau, la vague 2, qui sera lancée fin novembre, s’annonce comme particulièrement innovante et riche à travers le projet DRIM-M. Il s’agit d’une évolution majeure dans les pratiques de l’imagerie médicale. Les acteurs du secteur pour se les approprier à l’occasion des JFR où Medsquare oragnisera des réunions privées d’information sur sa solution DRIM-M experio.
La Délégation au numérique en santé (DNS), l’Agence du numérique en santé (ANS) et la Caisse nationale de l’Assurance maladie (Cnam) ont souligné, le 21 septembre lors d’une conférence de presse, le « succès » de la première étape du Ségur du numérique marquée par le déploiement des mises à jour des logiciels « Ségur vague 1 »
Un patient s’est plaint du non-respect, par un laboratoire d’analyses médicales, de ses obligations au titre du RGPD. En défense, le laboratoire invoquait sa qualité de sous-traitant pour expliquer l’absence d’analyse impact et d’information des patients. Était-ce une bonne stratégie ?
« Quoi que je voie ou entende dans la société pendant, ou même hors de l’exercice de ma profession, je tairai ce qui n’a jamais besoin d’être divulgué, regardant la discrétion comme un devoir en pareil cas. » Tous les médecins qui ont prêté serment connaissent ce passage issu du serment d’Hippocrate, qui adresse très clairement la confidentialité – absolue – des données médicales dont le praticien prend connaissance. L’article 32 du RGPD ne dit d’ailleurs pas autre chose (« […] des moyens permettant de garantir la confidentialité, l’intégrité, la disponibilité et la résilience constantes des systèmes et des services de traitement »), ce qui tombe bien puisque la vision des données personnelles et la vision médicale se rejoignent.
Un sondage Ipsos présenté à l’occasion de l’événement Pharma HealthTech, organisé par Pharmaceutiques et TechToMed, montre qu’après une adoption « sous contrainte » des outils numériques lors de la pandémie, les médecins français s’en sont un peu détournés.
Un webinaire vous est proposé le 4 octobre 2023 à 19h afin d’appréhender les impacts de la plateforme de partage des images radiologiques DRIM-M. Des représentants de l’imagerie médicale publique et libérale ainsi que de la DNS prendront part à cette session.
La délégation ministérielle au numérique en santé (DNS) a fait le point sur les chiffres de l’alimentation de Mon Espace Santé, lors du huitième comité de suivi du Ségur numérique organisé le 13 septembre. Les médecins de ville sont particulièrement à la traîne.
DrSanté est un logiciel de gestion médicale utilisé en France par plus de 6 000 professionnels de santé, dont 4 000 médecins libéraux généralistes et spécialistes. Il est édité par la société Calimaps qui est basée à Bordeaux et compte 30 collaborateurs. DrSanté propose une solution innovante et ergonomique pour simplifier la gestion quotidienne du cabinet et optimiser le temps médical.
Le 8 septembre, la DNS, l’ANS, la Cnam et les éditeurs de logiciels ont annoncé la poursuite de leur collaboration pour améliorer les fonctionnalités Ségur des logiciels et renforcer l’appropriation de leurs usages par les médecins de ville.
Le 5 septembre, le Grades e-santé Occitanie a annoncé le démarrage de l’expérimentation d’un nouveau service numérique pour l’hospitalisation non programmée d’un patient : ViaTrajectoire Hospitalisation non programmée.
La HAS a publié fin juillet une note de cadrage sur la standardisation des dossiers de liaison d’urgence et, plus globalement, des synthèses médicales en vue de leur numérisation.
Un décret publié le 1er août au Journal officiel détaille les modalités de signalements d’une nouvelle catégorie de maladies à déclaration obligatoire par les biologistes. Ils seront effectués dans un nouveau système d’information, baptisé LABOé-SI.
Le 25 juillet, le Health Data Hub a annoncé l’ouverture des inscriptions au Désiu « Réutilisation de données pour la recherche en santé », en partenariat avec les universités de Bordeaux, Aix-Marseille et Paris Cité.
… mais un acteur du dispositif oublié : les PSAD, maillon pourtant indispensable entre les prescripteurs, les solutions de télésurveillance et les patients
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