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Publié le 10 février 2021 à 07h00
Mis à jour le 08 novembre 2021 à 00h53
C‘est la même histoire, au mot près, que celle écrite par ce cher William, mais donc transposée et modernisée à Verona Beach, une Vérone américaine fantasmée dont les rues sont embrasées par la rivalité des deux gangs Montaigu et Capulet. Esthétique de clip, de pub, de pop ou de rap, ralentis et accélérés, zooms extrêmes, montagnes russes entre drame et grotesque, et B.O. (Radiohead, Des’ree, Garbage, Prince, The Cardigans…) que Shakespeare lui-même, parfaitement au fait de la culture musicale de son époque, n’aurait pas reniée : Baz Luhrmann brasse et empile toutes les formes audiovisuelles de son temps pour un résultat fracassant. Un chaos romantico-apocalyptique
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